
"Rien n'est impossible à l'homme, ce qu'il ne peut faire, il le laisse" Cette petite phrase trouvée au dos d'une carte écrite par mon Grand-Père, est le début d'une histoire....
chère visiteuse, cher visiteur,
bienvenue chez moi, cependant, les images publiées ici ne sont pas libres de droits.
17 oct. 2005
16 oct. 2005
sur les quais
15 oct. 2005
14 oct. 2005
vite!
la jambe nue

diagonale pointue, angle ouvert, poisson froid met le couvert
la vertu
et pourtant
entre-cuisses, assourdie, le sang gicle dans ma tête
le sang bat et je tête
souvenir alangui, je suffoque
mon coeur baille la muraille
blanche en vitrine
lumière entête ferme les yeux
mon corps braille en aveugle
sourd et sans tête, je bafouille
je bredouille, je te ouille
tu t'insurges me pressant
je capitule funambule
l'infini est vivant
Paris Poteau

le vrai Paris où j'aime me promener avec mon panier, rue du Poteau, tout un commerce à ma portée. Fruits et légumes, viande et poissons, tout y est frais, les gens charmants.
Dimanche dernier, y'avait une troupe de théâtre des rues qui chantait "el pueblo unido jamas sera vencido", mais pas en gueulant, non, tous ils chantaient tout doucement ces chants révolutionnaires. Il fallait tendre l'oreille, s'approcher pour savourer ce qui fut et n'est plus.
Allez Français réveillez-vous!
13 oct. 2005
gare de lions
la course contre la montre
12 oct. 2005
rideau d'eau

Paris aujourd'hui je te quitte le coeur gros
de tes visages sans teinte
visages pâle halo
Paris lisse et transparent comme ce rideau
sous lequel l'écriture est brouillée
souillée
par l'artifice, la saleté
Rideau je te tire
pour mieux lire
ailleurs là où l'eau
a une autre couleur
bleue
Paris opaque
Paris la frime, le fric, le toc
Paris la rime, la rame
Paris la peur, la sueur
Paris tumeur
Paris tu pleures
l'essentiel existe en ciel
ailleurs
Paris bourreau
Paris métro
Paris tu t'enterres
Paris tu pues
Paris tu meurs
Paris je reprends la vie
ailleurs
et je te dis salut
à toi
si tu le peux
encore
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