chère visiteuse, cher visiteur,

bienvenue chez moi, cependant, les images publiées ici ne sont pas libres de droits.

12 nov. 2005

bijour c'est l'amie kawet!


qui se cache ici et là, brouille les pistes
et revient
en changeant le o en a
et en enlevant un s
dernier survivant
comme ça tout est là
progressivement...

29 oct. 2005

un bouton d'or


sur un contrefort cherchant à capter plus fort
le tronc et son ombre
le beurre et l'argent du beurre
ainsi que la crémière

28 oct. 2005

un indien sur les toits de Paris


en plein vol
Micraster m'envoie cette image
de l'homme qui marche sur les toits
ses rénovations, ses constructions
son émoi
et toit?

j'ai revé d'une saveur

"le pavillon des fous"


un bel album de Thomas Fersen
qui dit si bien les choses
à Rose

ZAZA mon chien


Mon bon chien, ou plutôt ma bonne chienne, que vous avez peut-être eu l'occasion de voir quelques fois ici et là, se nomme ZAZA.
Thomas Fersen en a fait une chanson!
Sur son dernier CD s'intitulant..."le pavillon des fous"...
Eh oui, Fersen a une chienne, qui, je ne le savais pas, se nomme ZAZA, et ressemble comme deux gouttes d'eau à ma ZAZA à moi...
les paroles:
"Zaza tu pues
mais j'taime quand même,
Zaza ma chienne,
T'es une martienne, ...
Zaza tu ronfles,
pis tu t'dégonfles,
Zaza tu pètes,
Zaza tu fouettes, mais j'suis ton maître..."

sur le pont des arts

la femme de Cromagnon


elle est incrustée dans la pierre
elle se détache doucement
pour pénétrer son coeur

le profil de l'homme de pierre


Il a un certain âge, buriné par le temps
isolé dans l'espace
il se souvient qu'avant
la mer le baignait

il parait que le bonheur fait peur


eh bien à moi, il me fait du bien
je rentre d'une journée fourbue
à contempler le ciel bleu
à marcher dans les chemins
à rencontrer des gens "transparents"
des gens charmants
qui me vont bien

25 oct. 2005

l'aube ou le crépuscule?


qu'importe!
c'est l'heure de la prière
avant la nuit? avant le jour?
qu'importe!
Les cloches sonnent.
C'est l'heure d'amour.
Il me dit "tu vois, l'aube c'est plus doux que le crépuscule", la crapule!
Il préfère les couchers rouges aux levers roses.
Et pourtant, il s'agit bien de la même chose...

Acte II, scène I


C'est l'automne. Le gangster parisien se refait une santé dans la campagne boisée, les vieilles pierres, à l'occasion les fleurs.
Il a gardé son chapeau. La main toujours pas loin du flingue, au cas où.
Quelque chose, quelqu'un à shooter. Une fille, un vieux, un arbre, une porte.
Allez savoir pourquoi il tire sur les portes!
Il engrange.
C'est pas son truc la campagne. Il boit un thé. Comme à Paris.
Drôle de gangster.
Un oeil sur le côté, l'autre sous le chapeau.