
C'est l'automne. Le gangster parisien se refait une santé dans la campagne boisée, les vieilles pierres, à l'occasion les fleurs.
Il a gardé son chapeau. La main toujours pas loin du flingue, au cas où.
Quelque chose, quelqu'un à shooter. Une fille, un vieux, un arbre, une porte.
Allez savoir pourquoi il tire sur les portes!
Il engrange.
C'est pas son truc la campagne. Il boit un thé. Comme à Paris.
Drôle de gangster.
Un oeil sur le côté, l'autre sous le chapeau.