"Rien n'est impossible à l'homme, ce qu'il ne peut faire, il le laisse" Cette petite phrase trouvée au dos d'une carte écrite par mon Grand-Père, est le début d'une histoire....
chère visiteuse, cher visiteur,
bienvenue chez moi, cependant, les images publiées ici ne sont pas libres de droits.
30 sept. 2005
chasseurs alpins
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text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;"
src="http://photos1.blogger.com/blogger/1098/1310/400/chasseur.jpg"
border="0" alt="" />
Mon Grand-Père au milieu de tous ces gars-là, soldat inconnu.
1914: la guerre
Il est parti au combat. Les tranchées, il me racontait ça.
Un jour il s'est réveillé dans un trou. Des cadavres autour de lui. Tous
étaient morts, ses potes. Sauf lui. Il me disait qu'il devait la vie à
une rasade de gnôle, qui l'avait rendu groggy. Cet alcool fort qu'on leur versait le matin pour les réchauffer, leur donner du coeur pour aller se faire tuer. Eh bien, disait-il, cet alcool l'avait rendu légèrement ivre. Il s'était ainsi endormi, et réveillé...vivant!
Plus tard il partit avec son bataillon à Corfou. Là dans les eaux, il attrapa la polio.
Il revint de la guerre avec une "jambe folle" comme il disait, une croix de guerre, une pension, et... des bons de tabac.
Toute sa vie courageusement, il ne traîna pas la patte, s'armant d'une canne en bois qu'il utilisait rarement. Le Grand-Père se tenait droit, et avec lui, fallait filer pareillement.
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Mon Grand-Père au milieu de tous ces gars-là, soldat inconnu.
1914: la guerre
Il est parti au combat. Les tranchées, il me racontait ça.
Un jour il s'est réveillé dans un trou. Des cadavres autour de lui. Tous
étaient morts, ses potes. Sauf lui. Il me disait qu'il devait la vie à
une rasade de gnôle, qui l'avait rendu groggy. Cet alcool fort qu'on leur versait le matin pour les réchauffer, leur donner du coeur pour aller se faire tuer. Eh bien, disait-il, cet alcool l'avait rendu légèrement ivre. Il s'était ainsi endormi, et réveillé...vivant!
Plus tard il partit avec son bataillon à Corfou. Là dans les eaux, il attrapa la polio.
Il revint de la guerre avec une "jambe folle" comme il disait, une croix de guerre, une pension, et... des bons de tabac.
Toute sa vie courageusement, il ne traîna pas la patte, s'armant d'une canne en bois qu'il utilisait rarement. Le Grand-Père se tenait droit, et avec lui, fallait filer pareillement.
j'ai commandé un Lomo!
un nouveau bébé!
je veux faire des "images mentales", à la russe, costaudes!
je veux tirer à hauteur de la hanche, allez épanche!
je veux tester les couleurs!
je veux, je veux, je veux!
eh bien ça y est, j'ai commandé!
en Amérique
et dans 15 jours je recevrai la boîte rustique
et dedans mes captures je mettrai
je reviendrai ainsi à l'argentique
à mes premières amours
toujours...
poésie de métro
29 sept. 2005
Ma chère Hortense,
Le vent s'est remis à souffler. Ca fait du bien. Le Mistral, quand il souffle tu sais, il éclaire le ciel, chasse les nuages. Ici, on l'appelle le "mangio fango", le "mange-fange". Il assèche la boue. Il arrache les chapeaux des messieurs et soulève les jupes des filles. Il enflamme aussi parfois. Ce vent est très fort. On dit qu'il rend fou. Ce pays est rude malgré les apparences.
Ce matin, en donnant à manger à tous les mendiants du quartier, les chats sauvages, j'ai vu le petit croissant de la lune qui souriait en coin de ciel, déjà dans les rayons du soleil. La dernière chouette de la nuit hululait. La lune va s'éteindre. Repos enfin.
Hortense, je n'ai plus envie de retourner en son pays, d'où la raison a fui. L'herbe du diable y pousse, les sorcières s'y balancent en cadence. Je ne suis jamais entrée dans cette danse de singui. Transe. Je suis restée à la lisière de cette jungle où le lion sort ses griffes, pris par le malin.
Bien sûr, j'ai aimé me reposer au pays des rêves. J'ai aimé les caresses du temps. Mais j'en ai fait le tour maintenant, et tu sais que j'ai failli y laisser ma vie.
Hortense, grâce à des efforts surhumains, j'ai recouvré la santé, et le sourire m'est revenu aux lèvres. Alors comprends que dans ce que tu m'écris, cette histoire est bien finie.
Je te souhaite bien du plaisir en rive du Lot.
Je t'embrasse.
Rose
salut la vie!
28 sept. 2005
dans l'eau, la vie...
mosaique, photo Lomo?
photo d'une photo sous l'eau, un peu Lomo non JR?
bref c'était à Cadaquès, tout près de la maison de Dali. Port Ligatt, un endroit magnifique, une crique, un petite anse pour les pêcheurs. A l'époque où nous y allions, la maison de Dali n'était pas encore un musée. Hors saison, l'endroit n'était pas très fréquenté. Nous y sommes retournés récemment. Le charme a disparu.
c'était l'époque "Trafic"
27 sept. 2005
26 sept. 2005
25 sept. 2005
Cher Pescalune,
Tu te tais Pescalune, tu ne réponds pas, encore une fois, tu fais fortune de ta lune absente prise dans tes filets. Sans cesse elle fuit. A peine tu l'as prise qu'elle s'est échappée. Belle. Alors tu te replies sur l'autre face, celle de ton audace. La glace.
Noire.
Alors tu mets tes deux sous de ton même côté, tu remplis ton bas de laine et ne dispenses tes écus. Tu économises. Tu te réfugies dans ton ancolie, larme des vaincus, grondement intérieur, ronflement des peurs, déchaînement souterrain de tes heurts.
Fragilité.
Tu te confines en sa laideur avec bonheur. Tu rumines tes chaleurs, tu transpires tes sueurs.
Froides.
Au goutte à goutte de ton front perlé, tu fais des litres de ton humeur, une liqueur.
Nausée.
Respires.
Ta Lune.
la violoniste
le temps des travestis
le temps des colonies
24 sept. 2005
les années copinerie
en chemin
23 sept. 2005
dans les bois
le thé au lait
Meuh
Ben & Jerry aiment les vaches comme moi, et moi j'aime bien Jerry! Tu le sais Jerry, les vaches qui sont là sont en dernière de couverture sur mon premier ouvrage, sorti de tes presses et maintenant confié à Claude qui aime la Guiness. Hier soir on a causé de tout ça au pub irlandais, les mises au point etc, le calibrage, la photographie, la poésie, affaire conclue, n'en parlons plus. Chez Elliott, on a bu du Malaga en dégustant des patatas, et on a conclu en suçant des glaces aux cookies et au chocolat, Ben & Jerry, tout ça tout ça. Et puis avons remonté les bords du Rhône dans la nuit débordés. Affaire conclue Jerry, n'en parlons plus...
22 sept. 2005
la Caravelle
baiser de la Martinique
les joueuses de foot
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